lundi 5 septembre 2011

Le GANG STALKING: Action citoyenne collective ou crime haineux érigé en système ?


Les individus ciblés par cette activité sont d’innocentes personnes qui sont devenues, à leur insu, la cible du crime organisé ou d’initiatives gouvernementales. Elles peuvent aussi tout simplement servir de cobayes. On les contrôle en les surveillant 7 / 7 jours - 24 / 24 heures, pendant des années et parfois toute leur vie. La plupart ne savent pas pourquoi cela leur arrive. Et souvent, lorsqu’ils s’en aperçoivent, il est déjà trop tard. On cherche à les réduire au silence en les discréditant. En plus, on leur réserve le traitement suivant : diffamation, rejet, mépris, isolement, intimidation, déni de services; harcèlement moral, sexuel, électronique, et torture. L’objectif étant leur destruction, tous les aspects de leur vie sont touchés. Ils le sont tous en même temps et tout le temps. Ces victimes se retrouvent isolées, sans aucun soutien. Pourquoi? D’abord, parce que ce phénomène est méconnu du public, difficile à détecter et à reconnaître. De plus, le jeu de ces criminels consistant à les discréditer, ils les font passer pour des parias de la société. Ils racontent par exemple qu’ils ou elles sont prostituées, pédophiles, prédateurs sexuels, criminels dangereux, malades mentaux, clochards, voleurs, etc. Ils sont prêts à tout pour ce faire. Ainsi discréditées, ces personnes sont finalement isolées et réduites au silence. C’est le crime parfait. Mais... IL FAUT QUE ÇA CESSE !


QU’EST-CE QUE LE “GANG STALKING” ?


C’est une forme de terrorisme et de torture qui trouve sa motivation dans la haine, l’envie, la jalousie ou la vengeance. Pour plusieurs, c’est un sport, et même un divertissement. Ce crime, souvent pris comme un simple jeu par les participants, consiste à persécuter la personne ciblée et à l’isoler pour finalement la détruire. Les armes principales utilisées sont la surveillance constante, l’intimidation, la diffamation, le discrédit et le harcèlement sous toutes ses formes. La personne est traitée comme un objet avec lequel on s’amuse. On fait souffrir sa cible le plus possible avant de la détruire. C’est un crime haineux mais silencieux parce qu’il ne laisse pas de traces évidentes. Pire, ces actes sont commis sous le regard de tous. Pris isolément, ces actes peuvent paraître anodins. Mais, la quantité de ces méfaits commis envers une seule et même personne ainsi que le caractère répétitif de ces agressions ont un effet cumulatif et destructeur. La situation est donc aggravée par le temps.


QUI SONT CES CRIMINELS ?


Le “Gang Stalking” peut être initié ou commandé par un individu ou un groupe de personnes. Celles-ci peuvent engager des organisations professionnelles pour traquer et harceler la personne ciblée. Elles possèdent un très vaste réseau de ressources humaines sans oublier les gangs criminalisés qui sont prêts à accomplir la tâche. C’est simplement du business pour eux. Leurs réseaux s’étendent à toutes les couches de la société, même dans les instances gouvernementales. Leurs contacts peuvent posséder des liens partout dans le monde. La personne ciblée ne peut donc pas y échapper en voyageant ou en déménageant. Ce crime haineux et pervers est donc perpétré par un grand nombre de personnes. Les relations personnelles, d’affaires et même les proches, sont souvent mis à contribution, mais le plus souvent à leur insu.


CONSÉQUENCES


Pour les victimes : humiliations intenses, blessures morales et physiques, éclatement de la famille, isolement, absence de vie privée, services inadéquats, problèmes de santé divers. Elles vivent des pertes diverses: identité, réputation, réseau social, estime de soi, travail, revenus, dignité humaine, etc. Elles se retrouvent à vivre une souffrance extrême qui peut même les conduire au suicide très insidieusement.

Pour la communauté :
cause à tort un sentiment d’insécurité chez les citoyens engendré par la seule présence des individus ciblés dans leur environnement. Ainsi, plusieurs se croyant menacés ou mal protégés par le système de justice, prennent part à la «surveillance» des personnes ciblées ou les harcèlent. Le Gang Stalking étant méconnu, certaines figures d’autorité peuvent aussi y prendre part. Mais, des criminels aussi. Ces derniers en profitent pour réduire leur peine de cette manière. Des citoyens y participent en croyant faire une bonne action. Ils deviennent plutôt complices de ce crime, souvent, parce qu’on leur avait présenté ces individus comme étant potentiellement dangereux sous de fausses accusations ce, fausses preuves à l’appui (faux dossiers, photos ou vidéos truqués, désinformation, listes noires corrompues, etc.) Attention ! Y participer n’exclue pas la possibilité d’être ciblé aussi. Vous l’êtes peut-être déjà et vous ne le savez pas.
France Quenneville, 19 août 2010.

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Map Dans un rapport qui a donné lieu à la Résolution du 28 janvier 1999, le Parlement Européen : 'demande que soit établi un accord international visant à interdire, au niveau global, tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain, dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres au développement d'armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de 'manipulation de l'homme' ' (fin de citation du rapport sur l'environnement, la sécurité et la politique étrangère A4-0005/99 - §12 de la proposition de résolution et de l'avis de janvier 99) « Le courage c'est de refuser la loi du mensonge triomphant, de chercher la vérité et de la dire » (Jean Jaurès) I « Je ne suis pas seulement logé dans mon corps ainsi qu’un pilote en son navire, mais outre cela je lui suis conjoint très étroitement, et tellement confondu et mêlé que je compose comme un seul tout avec lui ». (René Descartes, Méditations métaphysiques , 1647, sixième méditation). l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme : "Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes."